Batman
Le milliardaire Bruce Wayne et son pupille Dick Grayson mènent une double vie dans laquelle ils sont Batman et Robin, justiciers masqués. À l'aide d'une large panoplie de gadgets et véhicules (bat-bouclier, Batmobile, Bat-copter, Bat-canot, bat-grappin…) ils combattent le crime dans la ville de Gotham City et ...
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Terminée | Américaine | 25 minutes |
Action, Aventure, Comédie, Adventure, Comedy, Crime, Family, Fantasy, Science-Fiction, Suspense | ABC (US) | 1966 |
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2.41 - Catwoman fait patte de velours
Scat! Darn Catwoman
Batman agrees to let the Catwoman drug him. But he appears to have a headache and the Catwoman permits him to take an aspirin. After the drug is administered, Batman appears to assist Catwoman on her crime wave. However, the police receive anonymous telephone calls that enable them to pick up members of Catwoman’s gang, including the drugged Robin. Meanwhile, the Gotham City police try to trace the hot line to the Batcave. Batman is there with Catwoman. He uses a device that foils the trace. Eventually, Batman reveals he hadn’t taken an aspirin but his universal drug antidote that prevented the drug from working. Catwoman tries to flee on top of a warehouse near the Gotham River. Batman is in pursuit and corners her. But, unwilling to go straight, she falls into the river. Has she lost her life, or just one of her nine lives?
Diffusion originale : 25 janvier 1967
Diffusion française :
25 janvier 1967
Réalisat.eur.rice.s :
Oscar Rudolph
Scénariste.s :
Stanley Ralph Ross
Guest.s :
Julie Newmar
,
Lesley Gore
,
J. Pat O'Malley
,
Jock Gaynor
,
Tony Epper
,
George Sawaya
Julie Newmar est vraiment formidable, semble bien s’amuser et elle est vraiment le truc en plus de ce double épisode. La voir cabotiner ou boire du lait à même l’assiette est un vrai plaisir coupable. Elle sauve de la monotonie cet épisode pas transcendant, mis à part un Robin devenu méchant et la chanteuse Lesley Gore (inconnue de moi) en Pussycat qui pousse un moment la chansonnette.
Par contre, scène hallucinatoire en VF (VF toujours aussi limite à accentuer les commentaires grossiers, totalement out of character dans la bouche du chaste Batman) où Alfred explique au calme à Tata Harriet les différences entre le « sexe fort » et le « sexe faible ». Que ces termes sont violents....